Chronologie Projet / Evolutions

A l'origine Ghislaine Durand, elle conçoit le projet transversal  VV(i)TT (prononcer vite),  

                          comme Voiles - Vêtements - (i) lien & identité – Tissus – Tambours

pour intervenir en prison et y proposer des pistes de réinsertion avec des ateliers d'art textile conjugués à des perspectives de sortie en mer.

   L'ambition, relier par le fil du textile et du sillage marin, le monde de l’enfermement à la ligne d’un nouvel horizon et former une équipe pour une exploitation coopérative des prototypes et modèles apportés Ghislaine Durand, artiste de mode autodidacte.

aux ateliers, on va s'y fier ...

en mer on s'aère !

Juin 2007-L'arrivée du JLD'A au port de Nice pour l'embarquement des bénéficiaires du projet VV(i)TT

...> par un clic ->Allons-y vite !!!  

 

Bilan du projet VV(i)TT novembre 2006 à juin 2007

 Expérimentation dans les Alpes-Maritimes

avec l'accompagnement de la CLAIE (Appui aux Initiatives dans l’ESS)Mesure 10B Objectif 3 du Fonds Social Européen

                                                                    ..

 Créée  le 28 février 2008 
   
Soutiens des pouvoirs publics -Etat/ACSE, la Région PACA, le département des Alpes-Maritimes et Nice Côte d’Azur   






Quartier femme de la maison d'arrêt de Nice 
( 80 ateliers/an, 5 à 10 femmes de 16 à + de 70 ans/atelier) et autres publics en difficultés politiques et sociales, près d'une centaine de bénéficiaires par an pendant 5 ans 

 - >...Pour le développement économique des projets,
La Marque FELIN POUR L’AUTRE

            L'Enrayure cherchait depuis longtemps un local en ville pour prolonger ses actions en prison, construire ses projets d'entreprise d'insertion et y déposer ses outils.

En août 2009, on lui faisait rencontrer le dénommé B. G., celui qui se disait couturier, gérant de sa société A. et surtout flatteur tant il était appâté par les soutiens publics dont bénéficiaient L'Enrayure et sa fondatrice pour ses projets d’entreprise d’insertion sous sa propre marque “Félin pour l’Autre”, au point de tout faire pour se les réapproprier, pensant sans doute pouvoir ainsi combler ses dettes.

  Il proposa local et partenariat d’action avec son “business dans la mode” et sa société A., ie liberté en arménien !!.... mais, 

• liberté de mentir et d’escroquer, sans vergogne
• de signer de sa main une convention sans jamais l’honorer, 
• de se déclarer propriétaire sans l’être à titre  de garantie, 
• de déclarer sa société comme son adresse principale sous une fausse adresse, 
• d’agresser verbalement au lieu de respecter sa parole, 
• de menacer de dénonciation calomnieuse au lieu de tenir son engagement, 
• de profiter de fonds à lui prêtés pour liquider ses dettes sociales sans jamais rien rembourser depuis si ce n’est minimement et en liquide bien sûr…, 
• de fuir et d’exploiter les idées et créativités d’autrui en les publiant sous sa marque sans manquer d’aucune gêne…,  
• Et tout ce faisant, d’entamer les projets de L'Enrayure et de sa fondatrice comme leurs porte monnaie en affichant outrageusement -quand simple escroc- une fausse respectabilité de fils de bonne famille  à qui veut bien l’employer
• pour pouvoir enfin rembourser ….? 
• En prison ne s’y trouvent pas ceux que l’on croit, 
• Mais comme là-bas, le temps fera là-aussi son office …

• En attendant, L'Enrayure n’a plus de local – ses outils et matériels dispersés et inutilisés, ses projets suspendus par le fait d’une escroquerie commise au détriment de projets d’utilité sociale et générale … 

Le TGI Grasse a condamné le dénommé BG par jugement du 28 août 2013,  

la procédure d'exécution aura duré 3 ans, mais les dommages auront été causés, le projet d'entreprise d'insertion FELIN POUR L'AUTRE n'aura pu reprendre 

et le droit doit encore se faire entendre des auxiliaires de justice...